Publié le: 5 juil.2019 à 11:47 par Trent Clark 2,9 sur 5
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Ne vous y trompez absolument pas: Chris Brown stocke ses albums avec plus de pistes qu'une gare pour augmenter sa visibilité en streaming.



Une telle production exécutive était le point de vente de son dernier album, les 45 titres de 2017 Heartbreak sur une pleine lune , et telle est la vie de son nouveau challenger d'attention de 32 chansons, Indigo .








Il ne devrait pas être perdu pour une superstar chevronnée que l'absence de musique physique à l'ère du streaming annule la nécessité de séparer les listes de lecture numériques en disques, car la pratique est loin d'être la même expérience d'écoute lorsque l'on met littéralement en pause les mélodies dans leur cerveau alors qu'ils se précipitent pour mettre un autre CD ou vinyle dans une machine.

Une superstar chevronnée ne doit pas non plus ignorer la tension qu'une… disons… une séparation de 28 minutes dans les chansons a sur la synergie d'un album, d'où la note basse de cette critique malgré que Brown ait posé des voix A1 tout au long de sa durée brute de deux heures.



Écouter directement 32 chansons est une corvée.

Bien sûr, toutes les infractions seraient pardonnées si Indigo était Trap & B de cette époque Polar mais Brown, dont la prolificité applaudie n’a pas été à l’origine d’un hit du Billboard Hot 100 n ° 1 depuis 2007, choisit d’être le chasseur au lieu du créateur.

Il est loin d’être facile de rendre la musique classique facile, mais le fils prodigue régnant de Virginia peut sûrement faire mieux que de recréer son hymne national (voir la chanson paresseuse apologiste Sorry Enough qui emploie le sacré Échantillon Clipse Grindin ).



Indigo contient environ trois albums dans son kaléidoscope musical.

Il y a les jams temporels de la chambre à coucher tels que le premier titulaire et le sensuel Trey Songz-duo Sexy qui parlent du titre de l'album. Il y a des ballades d'amour sans but comme Play Catchup ou Overwrought You Like That qui saignent le caractère générique (au moment de la presse, Brown attire les femmes qu'il juge peu attrayantes sur Instagram). Et puis il y a des portées pour le fourrage commercial qui se détache à moitié (le terrible flip de Dem Jointz de I Want To Thank You d'Alicia Myers se traduit par des performances léthargiques de Brown et de Lil Jon).

Le bon côté de la médaille offre cependant un contrepoids positif. Au moment de la publication, Indigo est censé être le meilleur album du pays , une victoire pour la portée de l'album doublé. Et comme indiqué précédemment, la voix fluttery de Brown est capable de bénir toutes les paroles incongrues - mais il y a aussi des gagnants.

Lauréats des mtv europe music awards 2016

Surplombant un paysage sonore de rêve de carillons et de tambours hypnotiques, Brown et H.E.R. harmonisent parfaitement leurs os sur le romantique Come Together. Le flottant Troubled Waters adoucit l'ambiance au plus profond de l'album alors que la métaphore d'être un maître nageur de l'amour s'entonnait plutôt bien. Et bien qu'il ne réponde pas au niveau de ses attentes en matière de célébrités, le No Guidance, présenté par Drake, sert de groove bluesy intemporel qui, surtout, scelle le cercueil sur une querelle particulièrement méchante.

Pourtant, avec son talent apparemment toujours avide de croissance et d'idées créatives, il serait avantageux pour Brown de créer des albums autour de ce feu plutôt que de les inciter comme les rampes de lancement de tournée .

Parce que quand la fumée se dissipe, Indigo est le tableau blanc des idées et personne n'a pris la peine de trouver la gomme sèche. En tant que superstar vétéran qui a échappé à quelques annulations valides et a l'immense talent à exploiter, Brown doit couper les camps d'écriture de chansons et puiser dans sa propre âme et couronner une succession de projets classiques en retard - avec une quantité agréable de pistes.